Si notre gouvernement avait pris les dispositions nécessaires dès le début de l'arrivée de nombre de clandestins avec famille, nous n'en serions pas là.
Une chose est certaine, le prochain Président de la République aura du boulot sur la planche pour règler tous ces problèmes qui ne sont que le résultat d'une politique électoraliste, faire l'autruche, cela va un moment, seulement quand on en arrive à une situation calamiteuse, seules des mesures draconiennes s'imposent et c'est le cas, aussi douloureux soit'il !
Ce n'est qu'avec des accords propres que nous retrouverons notre sérénité, en dehors de décisions Communautaires, le problème étant français doit être traité par la France seulement sans aucune intervention de l'UE.
Ma position est la suivante : Des apports d'argent sont fournis aus pays pauvres, en voie de développement et bien d'autres manières; c'est l'UE, l'ONU qui financent, ce sont des milliards d'euros qui partent et n'arrivent jamais au peuple, aucune structure de formation pour rendre ces pays autonomes et ne plus favoriser l'immigration.
Il faut et cela pourra se faire qu'avec le concours des pays concernés par la misère et l'ONU pour envoyer les personnels compétants dans les matières à mettre en oeuvre ( une forme de mise sous tutelle ) pour que ces pays puissent reprendre leur autonomie, lancer une économie qui sera profitable pour tout le monde.
Déplacer des populations n'est pas une solution, il va bien falloir le comprendre, c'est un peu comme l'abattage des barres d'immeubles, le problème n'a été que déplacé alors que nous nous trouvons dans une situation de manque de logements flagrant.
Maintenant pour les immigrés dont la vie se trouve en danger en cas de retour, restons humains, il faut remettre de l'ordre dans les pays concernés, cela est le Rôle de l'ONU, l'OUA et sans doutes lancer une proposition pour que chaque continent où aucune structure n'existe d'en concevoir. Car après tout, il me semble que ce sont des affaires qui peuvent se règler entre Etats proches et cela coûtera moins cher à la société.